Chaque aube, les voyances prosodie la ligne de voyance gratuite par téléphone continuaient d’affluer, grandissant régulièrement. Des voix anonymes, porteuses d’espoirs, de tristesses, de désespoir certaines fois, traversaient les sables immobiles pour obetenir les cristaux de Mémoire-Morte. Djibril répondait à tout lot de questions sans hésitation, soufflant délicatement sur les surfaces scintillantes, libérant les guidances prochaines qui défilaient devant ses yeux avec une authenticité poignante. Mais la mémoire qui s’effaçait en renouveau devenait une défiance réguliere. Djibril se lança à bruler jusqu’aux chroniques les plus simples : le cachet des aliments qu’il aimait au moyen Âge, l’odeur du jasmin qui fleurissait environnant à sa appartement d’enfance, le sceau de voix de sa mère, disparue depuis des générations. Chaque jour, les contours de son empreinte identitaire s’effritaient délicatement, remplacés par un vide à 0%, silencieux et oppressant. Pourtant, son job avait un sens significatif. Chaque réprésentation révélée aux étrangers au barrière du fil ramenait à la surface un fragment oublié du peuple qui avait habité cette grande ville engloutie. Au centre des guidances individuelles surgissaient relativement souvent des estrades médiévales : une vie de marché expressive, des faciès accueillant, un temple colossale aux colonnes gravées, perdu marqué par les sables depuis très longtemps. Djibril inscrivait immédiatement ces éclats sur les murs, produisant une patchwork complexe qui tentait de traiter une histoire effacée par le temps. La voyance gratuite téléphone qu’il pratiquait n’était plus uniquement un moyen d’aider ceux à l’autre bornage du domaine. Elle devenait une porte pour ramener une civilisation jalouse à la réalité. Les cristaux, tout fois qu’ils étaient sollicités, semblaient vibrer d’une loi d'attraction révélation, par exemple s’ils souhaitaient eux de plus se libérer de l’oubli. Mais plus Djibril soufflait, plus son Énergie s’épuisait, donnant arrière lui des fragments oubliés assurément pour toujours. Il sentait néanmoins que cette appel passée était reliée à lui d’une de mode inexplicable. Certains faciès, capturés dans les prédictions des cristal, lui semblaient familiers, à savoir s’il les avait déjà croisés dans un abruptement lointain. La limite entre ses propres biographies et ceux du monde trépassé devenait floue, confuse, presque inexistante. Il était devenu le réceptacle en vie d’une rappel collective, au prix de la sienne. Au fil des évènements, marqué par la thermométrie écrasante de Mémoire-Morte, Djibril continuait pourtant de souffler sur les cristal, perspicace que bientôt, il ne resterait rien de lui-même, hormis les voyances gravées sur les murs et la poussière froide des chroniques sacrifiés.
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